Le modèle de boîtes de (donc de #

Pour produire un document revient à produire des listes de boîtes (contenant éventuellement d’autres boîtes) et à les placer sur la page. C’est au moment de la visualisation que les caractères sont placés dans les boîtes et que le document ressemble à ce qui était souhaité.

/_static/images/textisboxes.png

Note

Un caractère n’est pas toujours « complètement » contenu dans sa boîte.

Contrairement à ce que suggère l’intuition, une boîte ne possède pas deux, mais trois dimensions : une hauteur, une largeur, et une profondeur. La troisième dimension est liée à l’existence d’une ligne de base sans laquelle il serait difficile d’aligner les caractères. On pourrait spécifier les trois dimensions de façon équivalente sous la forme : largeur, hauteur totale et décalage vertical. C’est ce qui est fait pour certaines commandes comme \rule et la syntaxe manque un peu d’homogénéité sur ce point.

/_static/images/boxdimen.png

Dans certaines circonstances (rotation de graphiques, minipage), on doit repérer un point verticalement et/ou horizontalement dans une boîte. Une convention courante est d’utiliser deux lettres, dont la première est t (haut), b (bas), c (centre) ou B (ligne de base) pour le positionnement vertical, et la deuxième est l (gauche), r (droite) ou c (centre) pour le positionnement horizontal.

/_static/images/boxplaces.png